La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1558)

Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1557) -

Chapitre 22 : Outrages et punition ! -

- … champagne à volonté !... mais celui de cette mixture est réservé exclusivement à cette bonne salope !, conclue-t-il, alors que je sentais couler le nectar à bulles entre mes entrailles…

J’étais dans un bien triste état, le teint blême, les yeux défaits, avec des cernes profonds sur mon visage, dans cette voiture me ramenant au Château. Non, je n’étais pas juste un peu fatigué, mais plutôt très éreinté, alors je conduisais lentement avec Monsieur le Marquis à mes côtés. Je sentais la pisse, le foutre, avec encore en bouche ce goût omniprésent de ces sucs intimes avalés. Mon corps empoissé empestait, je puais le cul, le sexe ! Jamais, même dans mes fantasmes les plus fous, je n’avais imaginé une telle débauche, une telle avanie, un tel avilissement… Ces outrages, ces affronts, ces humiliations subis avaient été terribles, pourtant paradoxalement j’espérais qu’ils puissent se reproduire au plus vite ! Mes mâchoires longuement écartées me faisaient mal, mon ventre gargouillait, mon cul pénétré à maintes reprises et pour finir par être arrosé au champagne, était douloureux. Pourtant il me fallait crisper mon anus et mes sphincters au maximum, pour ne pas laisser échapper ces liquides introduits dans mon fondement.

- Qu’est-ce que tu pues, Ma pute, il va falloir te passer au nettoyeur haute pression pour te laver correctement !, lâchait le Maître soudainement.

Je ne répondais rien, ressentant seulement une nouvelle fois l’humiliation. Monsieur le Marquis insistait.

- Pourtant ces fumets de chienne en chaleur te vont bien, ne trouves-tu pas, espèce de bâtard ?
- Oui Maitre, vous avez parfaitement raison, Maitre.
- J’ai apprécié te voir bouffer de la chatte, de la bite et du cul, tu deviens une belle salope, comme l’était ton père et ta mère.

Eux aussi aimaient se répandre dans l’abject et la totale débauche. Les chiens ne font pas des chats… Tu ne peux que leur ressembler. Ta mère était une véritable putain docile, aimant se faire engrosser par tous les trous, ton père quant à lui prenait des bites de toutes tailles et sans broncher, bref ils avaient atteint la perfection de l’avilissement total.

Pourquoi Monsieur le Marquis me parlait-il de mes parents ? Me faisait-il comprendre que je n’avais d’autres choix, compte tenu de mon patrimoine et héritage génétique, d’être cette salope ? Mes parents tous deux soumis, jadis, à l’extrême et devenus ainsi de véritables esclaves sexuels se complaisant dans les bas-fonds et les turpitudes de la soumission la plus absolue, de l’abnégation la plus parfaite, n’avaient pu qu’engendrer une chienne docile et servile, telle que moi ? Sans doute… C’était du moins ce que je ressentais profondément.

- Dans trois cents mètres, tu tourneras à droite !, m’ordonnait une nouvelle fois le Maître.

Je ralentissais puis empruntais un petit chemin de terre mal carrossé et qui s’enfonçait dans un sous-bois. Je roulais tout doucement, jusqu’à ce que le Châtelain exige que j’arrête mon véhicule.

- Descends et poste-toi là, près de la voiture, mains sur la tête, cuisses écartées.

Devant le capot du véhicule, tête basse, je n’osais bouger. Le Noble, lui aussi sorti de la voiture, me regardait, Il prenait son temps, allait et venait, me contournait pour revenir face à moi. A cet instant l’humiliation me gagnait une nouvelle fois.

- Je veux, la chienne, que tu pisses, là devant Moi.

Sans attendre, j’ôtais mes mains de ma tête pour dégrafer mon pantalon, mais contre toute attente, le Châtelain me giflait, à trois reprises, sévèrement.

- T’ai-je dit de bouger ? T’ai-je exigé de sortir ta nouille de ton pantalon ? Non… je ne crois pas… Je t’ai juste exigé de pisser, alors contente toi d’obéir à la lettre à Mes Exigences.


Quelle abjection, Quelle ignominie ! Monsieur le Marquis exigeait que je me pisse dessus, que j’urine dans mon jean… Encore une fois, il me testait ! Il voulait me voir obéir sans sourciller, sans blêmir, ni même réfléchir ! Combien il m’était difficile de Le satisfaire, là, dans l’instant, combien j’éprouvais du dégoût à me faire dessus…

- Dépêche-toi salope !, me commandait le Noble très calmement, très vicieusement.

Je baissais un peu plus la tête, j’hésitais encore longuement puis sentais ma pisse chaude coulant le long de ma cuisse gauche et humidifiant sinon trempant mon pantalon. Cet acte physique portait atteinte à ma dignité, à mon amour intérieur. Je me sentais rabaissé, dévalorisé, j’éprouvais de la honte, de la gêne, de l’impuissance. Il n’y avait plus rien d’humain dans mon comportement… je cédais, sombrais dans la déchéance la plus totale.

- Tu dois apprendre à M’obéir vite et bien, salope… Quel que soit l’exigence donnée… même si celle-ci te semble totalement dégradante et abjecte. Tu dois le faire, parce que tu n’es qu’un esclave, Mon esclave ! Lorsque je te vois ainsi hésitant, je n’ai pas l’impression que tu comprennes ce que j’attends de toi. En te mettant à l’épreuve, comme je le fais, je te teste, je te pousse à tout abandonner, en te faisant vivre diverses situations éprouvantes. Je veux te voir acquérir des comportements automatiques et une obéissance sans réfléchir. Je t’éduque pour que tu puisses combattre ton égo, tes craintes, pour que tu puisses arriver à un don de toi via une abnégation totale, sans autres attentes que de Me satisfaire pleinement. Mon objectif est de te faire évoluer vers une dissolution de ton égo, pour développer ton empathie et ton altruisme, parce qu’ainsi tu grandiras et t’épanouiras. Rien de plus important sera uniquement de Me satisfaire, cette priorité impérative est et sera toujours ta seule et unique raison d’être, de vivre, d’exister. Ma satisfaction t’apportera la plénitude et le bien-être dans ta condition servile…

A juste titre Monsieur le Marquis me sermonnait, il reprenait plus calmement

- Baisse ton froc à tes chevilles, sale chienne, pose ton abdomen sur le capot de la voiture… Je dois te punir pour que tu comprennes ce que je veux que tu sois, une véritable chose inférieure, corvéable et dépendante de Mes Volontés !

Je tremblais de peur, de froid, de crainte d’être vu ainsi affiché en pleine nature.
Le Châtelain revenait près de moi avec en main dans Son gant noir et protecteur, des branches d’orties fraichement coupées. D’un mouvement de poignet, il cinglait l’air avec feuilles souples et urticantes !

- Décompte chaque coup et remercie-Moi à chaque fois que je cinglerai ton cul de salope, je veux te punir pour te faire grandir, petit bâtard, fils de putain et d’enculé ! A part le décompte et le remerciement, je ne veux entendre aucun autre un bruit, tu dois supporter en silence…

Monsieur le Marquis se plaçait sur mon côté droit et tapotait mon fessier et le haut de mes cuisses avec ce martinet vert que Dame nature lui avait donnée. Je grimaçais, contractais mon cul, serrais les dents, me crispais.

- Un… Maître, merci Maître

La sensation était double, sous l’impact je ressentais une sévère douleur due à la compression de mes muscles fessiers et mélangée à une irritation urticante de la peau. Ensuite la douleur s’étendait sur une surface plus étendue. Le Maître le savait, vicieusement, il attendait trente à quarante-cinq secondes entre chaque coup porté afin de permettre la complète propagation de la douleur de l’impact précédent et laissait grandir la réaction cutanée irritante du contact des orties. A chaque fois, je le remerciais humblement, respectueusement en prenant conscience de mes manquements et de mes volontés à Lui obéir coûte que coûte. Je me retenais, avec beaucoup d’efforts, de gémir, d’hurler quand l’irritation des boutons générés par les orties était à son paroxysme, l’inflammation grandissante de mon fessier se développaient à vitesse grand V.

- Vingt Maitre… Merci Maître !

Je pleurais, tel un , des sanglots incontrôlables, mes larmes roulaient sous mes joues, des pleurs de douleur avec une incompressible envie de me gratter les boutons urticants, alors que je devais rester totalement immobile, des larmes aussi de béatitude, de renoncement, de contentement… Tout était désordre, une nouvelle fois, dans mon cerveau.
Ayant eu l’autorisation de bouger, je me vautrais à Ses nobles Pieds, lui offrant mon être tout entier, le remerciais encore, le vénérais, l’encensais, le considérais, l’estimais. Monsieur le Marquis d’Evans faisait de moi, ce que je devais être : Son esclave dévoué !

- Est-ce que tu penses que cette punition t’a été utile, Mon chien ?, répond-Moi !
- Oui Maître, j’en suis certain, répondais-je en me retenant de me gratter les fesses, ce qui était une véritable
- C’est ce que nous allons vérifier de suite, relève-toi et va t’accroupir ici.

Monsieur le Marquis me montrait un petit fossé près d’un arbre. J’y allais cette fois-ci sans hésiter, même si mon pantalon à mes chevilles m’empêchait d’avancer vite. Je m’installais dans la posture requise, alors que le Maitre me regardait longuement.

- Là, immédiatement, vide ton cul, défèque, soulage ton rectum de ce lavement au champagne, je le veux, je veux te voir t’abaisser, te corrompre, te dépraver devant moi.

La punition portait ses résultats, je me vidais, me vidangeais sans rechigner ni calculer, me contentant de subir l’affront, telle une normalité. Rabaissement extrême encore, lorsque le Maître, Lui-même m’essuyait sommairement les fesses avec un kleenex en m’obligeant à les écarter de mes deux mains posées sur les boutons d’orties enflammant ma peau. Puis, le Châtelain exigea que je m’étale, couché sur le ventre dans le fossé souillé de mes fèces… Puis, il sortit de sa poche, un tube de pommade, l’ouvrit et m’en passa abondamment sur mon cul enflammé.

- Cette pommade contre l’urtication des orties est d’une efficacité redoutable. Elle va te soulager très vite dans les minutes qui suivent. Ensuite, nous repartirons …

Peu après nous reprîmes donc notre route, moi plus souillé que jamais, dans un état de délabrement total, avec ma chemise blanche poussiéreuse et tachée de terre, de boue, avec mon pantalon détrempé et mon fessier encore un peu en feu, mais bien apaisé par la pommade réparatrice... Lorsque nous arrivâmes au Château, j’espérais seulement déposer Monsieur le Marquis pour repartir bien vite à la Bastide. Sauf que le Noble en avait décidé autrement.

- Regagne ta cellule, bâtard, sans même te foutre à poil et attends que Madame Marie vienne te chercher, tu empestes...

Le Châtelain regagnait le perron du Château, alors que moi, je faisais le tour de cette fastueuse demeure, pour regagner ce qui était mon logis ici. J’enfilais mon collier et m’assaillais à même le sol, en calant mon dos contre les lourdes grilles et attendais ainsi comme ordonné. Evidemment, lors de ce long moment en silence, défilaient devant mes yeux les images de ces Dominants m’ayant assailli tout un après-midi, mais aussi celle de cette punition administrée sans clémence… Combien de temps s’était écoulé entre mon arrivée ici et ces hurlements venus de nulle part ? Je devais avoir dormi, tant j’étais éreinté… Madame Marie était là devant moi, tenant esclav’antoine en laisse attachée à son collier, tout en lui claquant le cul avec sa cravache.

- Avance putain en cambrant tes reins et en écartant ton cul, je veux voir en tout temps ta rondelle de salope !

Antoine grimaçait, il était nu et totalement trempé de la tête aux pieds, son corps ruisselait…

- Ça schlingue ici… c’est toi la salope qui pue ainsi ?, m’interrogeait sévèrement la cuisinière.

Devais-je répondre ?

- Fous-toi à poil, dépêche-toi. Laisse tes vêtements dans ce seau.

Très très vite je me dessapais, alors qu’Antoine se faisait enfermer dans la cellule où je me trouvais. J’étais heureux de le retrouver, même si je ne manifestais pas ma joie, de peur de me faire réprimander par cette perverse cuisinière. Lui aussi semblait distant, sans un sourire, sans même me regarder. Il restait à quatre pattes, le cul tendu, les cuisses écartées pour que Madame Marie puisse continuer à mater sa rondelle qu’il affichait sans la moindre pudeur.

- Approche salope !, m’ordonnait Madame Marie.

La sévère cuisinière m’attrapait par mon collier, bras tendu, détournant la tête avec écœurement, se pinçant le nez de son autre main pour me signifier son dégoût, et m’entrainait ainsi, en quadrupédie, jusqu’à dans une salle de douche. Là, elle me passait un bandeau sur les yeux, attachait à chacun de mes membres, des bracelets en cuir qu’elle arrimait à des cordes venant des parois latérales. J’étais ainsi maintenu debout main en croix, bras et jambes largement écartés, attaché aux chevilles et poignets. La cuisinière ôtait ma cage de chasteté. Un bruit de compresseur me faisait sursauter…. Très vite je comprenais… Un jet d’eau glacée venait frapper mes omoplates, mon cou, mes épaules… Monsieur le Marquis avait tenu parole, je me faisais laver au nettoyeur haute pression, ou plus exactement à la lance à incendie ! Je tentais de ne rien dire, mais m’agitais dans tous les sens pour tenter d’échapper à ce jet puissant. Peine perdue, les liens et la dextérité de cette vicieuse cuisinière m’empêchait de me dérober à cette eau glacée, puissante et cinglante. Je criais, hurlais, grelotais alors que Madame Marie s’activait sur mes fesses marquées, allant même jusqu’à laver mon anus avec cet appareil, ayant toutefois diminué la puissance du jet. Peu après, elle me contournait, et visait ma poitrine, mes tétons, mon abdomen, mes cuisses, mes pieds, puis ma nouille et mes couilles après avoir diminué, une nouvelle fois, la pression. Je ne me débattais plus, ne criait plus, j’étais vaincu mais paradoxalement, la nouille libre, je bandais comme un taureau, trahissant ainsi mon état d’excitation à cet avilissement total… Sauf qu’à cet instant où, cette satanée femme, avec un gant de toilette de crin, astiquait et savonnait mon gland méthodiquement et douloureusement, me faisant ainsi débander d’un seul coup, ma nouille devenant flasque, molle...

- Ici, on sait calmer les chiennes en chaleur de ton espèce, ta nouille n’est désormais plus qu’une coquillette, petite salope…. Elle semble avoir perdu son arrogance… Tu ne ressembles plus à rien, la pute, avec ce ridicule et minuscule morceau de chair entre tes pattes… Et je ne parle même pas de tes couilles, deux minuscules noisettes !

Madame Marie riait avec perversité, exprimant ainsi sa supériorité sadique, alors que moi j’hurlais encore, tant la pression sur mes testicules était douloureuse.

- Calme-toi la putain, offre-moi tes ridicules boulettes…

Ouf, elle me relâchait enfin…. Sauf que deux minutes plus tard, La perverse cuisinière me lançait un seau d’eau froide en pleine figure puis me détachait et me frictionnait énergiquement pour me sécher et sans ménagement. Peu après j’étais conduit à l’étage, dans une pièce que je ne connaissais pas… esclav’antoine était là, lui aussi, agenouillé, sans cage de chasteté, près de Walter. Tout près d’eux, couchée au sol, une femelle soumise, totalement nue et attachée jambe en l’air, cuisses écartées, attendait. Je remarquais et constatais qu’un thermomètre était planté dans son cul offert…

(A suivre…)

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